"C'est tout je crois. Ah, oui, je t'aime encore."

J'ai trouvé des girolles au marché ce matin. J'aimerais vivre à Rome, oh j'aimerais bien! J'ai planté des tulipes; elles tardent à éclore. C'est tout je crois... Ah oui, je t'aime encore.

Mais où es-tu ? Aussi loin sans même une adresse. Et que deviens-tu ? L'espoir est ma seule caresse.

J'ai coupé mes cheveux, « enfin » dirais-tu. Oh ça m'a fait bizarre mais j'ai survécu. On m'invite, on me désire et je danse et je sors; et quand je danse, Je t'aime encore.

Mais où es-tu ? Aussi loin sans même une adresse. Et que deviens-tu ? L'attente est ma seule caresse.

Et je t'aime encore, comme dans les chansons banales. Et ça me dévore et tout le reste m'est égal.

De plus en plus fort, a chaque souffle à chaque pas. Et je t'aime encore, et toi tu ne m'entends pas.

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"Se você ler essas linhas, não lembre-se da mão que a escreveu. Lembre-se apenas do verso, o choro sem lágrimas do compositor por quem eu tenho dado a força e isso se tornou a minha própria força. Moradia confortável, colo da mãe, chance para a imortalidade, onde ser querido se tornou uma emoção que eu nunca conheci. O doce piano escrevendo minha vida. Ensine-me a paixão, pois temo que ela tenha partido. Mostre-me o amor, proteja-me da tristeza. Há tanto que eu gostaria de ter dado àqueles que me amam. Eu sinto muito. O tempo dirá esse amargo adeus. Eu não vivo mais para envergonhar nem a mim, nem a você.
E você? Desejaria não sentir mais nada por você..."



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